le temple de poseïdon .

(Ce ptit centaure c'est Chiron! Ouias c'est moi!!!!!)

Chiron s'aança alors, il prit enfin la parole. Le Centaure s'inclina devant son demi-frère et dit:

"Je ne sais point si tu te souviens de moi chèr demi-frère, mais je me présente de nouveau! Chiron, fils de notre père Chronos! Moi et mes amis sommes en quête, enfin surtout pour une quête de deux Atlantes qui sont malheuresement pas parmi nous! Nous les avons perdu en mer alors que nous naviguions vers cette île...notre désire serait que tu nous indique leur endroits, si ils vivent encore et si tu pourrais nous les ramener! Aprés cela, ce seront aux Atlantes de t'expliquer!"

Et Hypolyte dit.

"Et moi je suis Hypolyte , fils Thésée. Il y longetmeps mon père à crut à tort que j'avait voulue lui prendre sa femme, Pherdre. Il t'avait demandé, dans un élan de rage, de me maudire. Je sais que tu l'as fait, car je ne peux toucher aucun cheveaux, apars le cheval morts, et je te prie pour lever cette malédiction."

Arès secoua la tête avec un sourire moqueur.

Tss! Somme nous là pour discuter de petit problèmes de famille?? FRanchement vous les mortel avez des priorité stupides! Une petite malédiction et vous êtes térrorisés! Hahaha!!! J'ai vraiment bien fait de venir je ne m'ennuie pas!

Le Dieu des Mers les écouta un par un,restant toujours aussi stoïque.Il répondit d'abord à Chiron:

"Maître Centaure,sois toi aussi le bienvenu dans mon temple.Atlante,dis-tu?Je savais bien que cela me retomberai dessus un jour ou l'autre.Je comprends,maintenant pourquoi un Serpent de Mer a été vaincu si aisément...Eh bien,soit.Je crois qu'ils ont mérité le droit que je leur explique au moins mes agissements.S'ils sont sur une mer,je les trouverai."

Poséïdon ferma les yeux et les rouvrit au bout de quelques secondes.Il fit un léger sourire,et anonça calmement:

"Vos amis ne sont pas morts.Comment le pourraient-ils?Ils sont passé dans le monde des Mers,et en sont sortis indemnes.Je crois qu'ils seraient même capables de descendre aux Enfers et d'en revenir aussi facilement.C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai dû faire cesser l'expansion de leur race...Mais je vous expliquerai cela en détail lorsqu'ils seront présent,car ils arrivent.Ils n'ont pas oublié le lieu de rendez-vous,et sont à cet instant sur le chemin.Est-ce que cela vous rassure?"

Il attendit un moment avant de fixer Arès,et lui transmit ses pensées,qu'il laissa entendre aux Dieux et Déesses présents dans le temple.

*Les mortels sont naïfs et faibles,mais ils ne sont pas des jouets.Si nous,les Dieux,sommes présents,ce n'est pas pour les punir pour le plaisir,mais pour qu'ils grandissent en passant nos épreuves,et ce même s'ils doivent nous haïr.Quand ils seront sages,ils comprendront que c'était dans leur propre intérêt.*

Puis il posa son regard sur Hypolyte,et lui répondit tout aussi calmement:

"Si une malédiction t'as été lancée,tu dois passer une épreuve,afin de mériter une bénédiction,et ainsi l'anuler.Mais sache que ce sera dur,et long.Es-tu prêts à entendre ma requête?"

"Oui, grand dieux des mers."

Hypolyte était près à tout pour enlever cette malédction, de toute , si il avait de difficulté, Artémis serait là. Il vue Aphordite, d'un oeil discrêt, c'était elle la cause des ses maleurs, juste à cause il était resté fidèle à Artémis oputôt de lui accordé ses maleurs.Hypolyte était pas ce Paris, un faible qui ne pense qu'a ça queu, comme Achillle, il était sage. Puis il reporta sona attention.

"Quelque est ma mission? Si tuer un créature comme le minotaure, je suis prêt....."

[eh !!! t'etait pas au palais toi ??? pas grave ...]

atalante , contente que ca reaction est fait (enfin) venir le dieu se retira sur le peristyle et ne manqua pas une miette du divin spectacle .

[le palais]

Nerelith entra dans le temple du dieu des mers et fut extremement surprise de le voir au milieu de la pièce, gigantesque stature imposante. Elle s'avança parmis les autres et s'arrêta la, à voir ce qui se passait.

Aux dires d'Hypolyte,Poséïdon leva un sourcil,puis baissa les yeux en soupirant.Puis,les posant sur le guerrier,il continua:

"Non...Pas de mort,pas de combat...Il est inutile de tester un guerrier au combat.La quête que je te donne est simple,mais compliquée à la fois.Ecoute bien,je ne le dirais qu'une fois.Jadis,au temps des atlantes,nombreux étaient mes acolytes,et grande était leur sagesse.Ils étaient fidèles,et puissants.Pour les récompenser,j'ai fait construire dans mes temples des portails dimensionnels,pour qu'ils puissent se déplacer rapidement.Grâce à cela,je leur ai permis de remporter maintes victoires.C'était avant que je les anéantisse...Depuis,ces temples sont tombés dans l'oubli.Je te demande d'en retrouver au moins trois,et d'activer les portails.Lorsque tu auras fait cela,je considèrerai ta quête comme accomplie,et lèverai la malédiction.Pour des informations,à toi de chercher des gens capables de t'en parler.Commence par les grandes villes,dans mes temples."

Poséïdon se tut.Il observait les mortels.

Voit Hippolyte la regarder. Elle se rappelle très bien des raisons de sa colère envers le jeune guerrier. Décide de lui parler un peu plus tard à ce sujet. Se dirige vers Poséidon.
-Alors mon cher Poséidon, cela faisait un moment que l'on ne s'était vu. Restes-tu toujours dans ton palais sous-marin?

(ça ressemble à une mission de Age of Mythologies où les jeux dans le genre.)

"Bien grand dieux."

Puis il se tourna vers les personne autres présentent.

"J'aurais surement besoin dans cette quête."

Il tira son épée.

"Qui est avec moi?"

[ hrp: T'as un problème avec ma quête?! lol Nan nan,c'est de moi,c'est copié nulle part. ]

Lorsqu'Aphrodite approcha Poséïdon,il se détendit,et son regard d'habitude neutre changea aussitôt.Il sentit le charme l'influencer,et décida de ne pas lutter contre.Il lui fit un petit sourire et lui répondit amicalement:

"Eh bien,vois-tu,ma chère,en ce moment j'ai beaucoup de travail...Les pêcheurs sont de plus en plus nombreux,et si je les laisse faire,il n'y aura bientôt plus de poisson dans certaines zones...Mais les mortels sont longs à comprendre ce genre de choses,et il faut les y aider!Alors je remue de plus en plus souvent les eaux pour qu'ils changent d'endroit,mais ils sont tenaces,et même têtus,et ne lâchent pas si facilement...Aussi,tu ne peux pas savoir le nombre d'espèces vivant dans les eaux!Et tout comme les humains,ils ne savent pas cohabiter...Je dois sans cesse faire le juge,et les remettre à leur place.Donc,pour répondre à ta question,non,je ne passe que très peu de temps dans mon palais."

Voyant Hypolyte sortir son arme,le Dieu des mers se ressaisit,et fronça les sourcils.Usant de sa voix grave et sévère,il le réprimanda:

"Où te crois-tu,mortel?Je ne tolère les armes que dans leur fourreau!Même moi,je ne porte pas mon trident dans mes temples.Ce sont des lieux sacrés,des lieux de paix.Range ceci,veux-tu?Je te pardonne pour cette fois,mais tâche,à l'avenir,de garder tes élans optimistes au fond de toi,ou hors de mes temples."

A ces derniers mots,il retrouva son expression habituelle,stoïque.

Le Centaure immortel prit le poigné d'Hypolite et la rangea dans son fourreau au plus vite, avant même que Poseïdon eu finit sa phrase. Il dit alors:

"Chaque chose à son temps jeune homme...tu fera tes demandes plus tard! Et je te parlerais de ces portails si tu le désire mais seulement aprés le retour des Atlantes!"

Arès posa la tête sur l'épaule d'Aphrodite, comme pour rappeler qu'il avait bien l'intention de rester son favori, et soupira. L'influe d'adrénaline qu'il avait envoyé a Hyppolite avait suffit a enflammer les sens déjà rapide du jeune homme mais rien ne c'était passé et la conversation commençait a être longue pour lui. Il décida donc de faire bouger un peu les choses.

Et bien, je pense que tout est dit! Mon Oncle, mercis de tes conseils avisés! On va y aller maintenant hein!! Il lança une onde vers Les hommes présent pour les pousser a l'action. Il en avait assez et n'avait pas eu sa dose de sang depuis trop longtemps. Et lorsque l'on est le dieu de la guerre, il est dangereux de ne pas satisfaire ses envies! Surtout pour les mortels environnant! Sentant son sang froid en train de déguerpir, il fit une bise sur la joue d'Aphrodite et s'éloigna en lui frôlant la hanche. Il se transformant en grand chien noir et sorti.
Je vous attends dehors!

Là, il s'assit. Soudain il vit un navire accosté et 5 hommes en descendre furtivement. Des pirates. Si un chien pouvait sourire!! Il se leva et parti vers les intrus en chargeant. Le sang allait enfin couler! Le premier pirate ne vit rien venir. Ses compagnons ne firent qu’une forme noire le faire disparaître dans un fourré. L’homme fut égorgé rapidement, le chien ayant planté ses crocs dans son cou le secouant puissamment. Les autres, Arès les tuerait a l’ancienne ! Un homme a la haute stature, une épée a la main sortit des fourrés, un sourire cruel sur ses lèvres brillantes de sang. Il avant vers les pirates tétanisés de peur.

Atalante froler par le chien l'avais suivit, elle se doutais de l'identité de cet homme, mais cette bagarre l'exitais plus que les longues paroles dans le temple...

elle applaudis et dit ces mots :

-bravo, dommage, tu les tuent bien trop vite, avec mon poignard je peux les faire agonisé ....mais, chacun ces preferance ...

sur ce elle s'assit , sortit ca lame de son fouraux et prix un tissu pour la faire briller des quelques taches de sang de ses precedante victime.

-ce doit etre dans mes genes, les amazones ne sont pas tendre .

Arès trancha en deux un des marins, d'un revert vicieux, et para habilement l'attque surnoise d'un autre. Il le repoussa sans ménagement, avant de la ratraper, son visage dans sa main. Il regarda Atalante et lui souria. Mais je t'en pris amuse toi ma toute belle! Je m'en voudrait de te priver. Il lancat quasiment le marin qu'il tenait vers Atalante, tandis qu'un troisième lui abatait sa lame sur le dos. Mais l'épée ne lui fit pas le moindre mal et il se retourna. Il souria au marin qui recula de terreur. la main d'Arès jaillit et attrapa l'homme a la gorge. Il el souleva de terre d'une main.

Frappe plus fort! Lui souffla t'il. Un craquement sinistre se fit entendre et Arès l'acha l'homme qui s'affala la nuque broyer.

Ca n'est pas ma faute si vous humains êtes si fragile!

elle ratrapa le pirate encore jeune , et par reflexe tira la lame de son foureau et lui trancha l'interieur de la cuisse, elle lanca l'homme à terre et lui ecrasa son pied sur ca blessur, le sang coulait et tâchait sa chausse.
elle dit espieglement à l'homme crisper de douleur :

-si je retire mon pied, tu mourra dans les deux minutes qui suivent, vider de ton sang ...

elle sourit ,
l'homme la regardait desemparer, et comme elle ne supportais plus ses hurlement, elle retira son pied et regarda l'homme tenter de s'enfuirmais ne pouvant marcher il mourra à terre par la main, d'une femme ...

quelle sensation douloureuse et pourtant si agreable, cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas tué un homme. elle retira ses chaussures tachés et alla les lavé dans une petite riviere ainsi que son poignard.

Le Dieu des mers fronça les sourcils,puis ferma les yeux quelques instants.Quand il les rouvrit,il anonça tout haut:

"Je vous prie de m'excuser,j'ai du travail.Lorsque vos amis seront présents,appelez moi,je reviendrai."



Poséïdon se leva,son corps se liquéfia,et il disparut.

Arès souriait rendu plus fort encore a chaque mort par sa faute. Il rangea son épée et s'accroupit a coté du cadavre de l'homme saigné par l'amazone. Il posât la main dans la mare de sang qui sembla être absorbée. Il frissonna de plaisir et jeta un regard par dessus son épaule.

Mes meilleurs enfants marmonna t'il, très heureux

Elle l'entendit marmonné quelque chose mais n'avait pas preter attention à ce qu'il disait .elle le regardait avec un bonheur irremplassable,
elle avait bien essayer de fuir sa nature assassine, mais un chien qui à gouté au sang, ne peut plus s'en passer.
Elle frissonnait de plaisir. les yeux perdu dans le vague . puis elle lanca :

-que dit tu ?

Oh rien rien!! Des banalités. BOn en tous cas j'espère que les humains vont bientot le vé le camps je m'encroute moi! Heureusement qu'ils ne sont pas tous si ennuyeux! Fit t'il dans un clin d'oeil évident pour Atalante.

Elle rendit le clin d'oeil d'ares par un sourire tenebreux qui en disait long sur ce qu'elle avait ressentit au cours de ce court combat.

-si seulement ils n'était pas aussi pacifique ... Leur quête serait plus ... exitante non ?

puis elle s'allongea sur la plage etregardait le soleil descendre à l'horizon .

NErelith, plus inutile que jamais et bizarremen impatiente, sortit rapidement du temple. Elle n'arrivait plus à rester en place.

"Ah, ce que c'est long! Je n'en peut plus!"

Elle vit Atalante au bord du rivage. MAis elle ne pouvait aller lui parler maintenant, elle avait trop besoin de libérer cette énergie en elle. Elle se mit à courrir pour se dégourdir les jambes. Elle se sentit pleine de cette énergie et, pour une fois depuis longtemps, elle se sentit emplie de plénitude. Elle courrut, encore et encore, n'arrivant pas à se convaincre d'arrêter. Mais ça ne suffisait pas... Elle avait besoin de bouger.

Achilles qui se lassa d'attendre sur le bateau était redescendu sur terre ferme et voulut se promener le long de la plage. Il n'avait aucune intention de rejoindre ses autres compagnons car il savait qu'il ne leur plaisait pas et en plus les Lemniennes l'enfermeraient directement dans un cachot. Achilles choisit donc de se promener sur la côte ou il n'y avait presque aucune surveillance. Il entendit des pas pressant...ou plus tôt un trotinement ... ou une course et vit Nerelith qui courrait. Il s'arrêta et se demanda s'il ne devait pas se cacher...Mais pourquoi se cacher? Le guerrier s'arrêta donc.

-Ohla! Ou cours tu comme ça? Quelque chose ne va pas? Il y a des problèmes avec les Lemniennes?

Nerelith s'arrêta immédiatement, mais mit plusieurs secondes à repérer qui lui avait parlé. Elle se retourna vers Achilles.

"Non, il n'y a aucun problème avec les Lemniennes, ni avec Poséïdon... Je m'ennuie, c'est tout. J'ai besoin de bouger! J'ai l'air calme et sage quand on me voit comme ça, mais j'ai besoin de bouger! J'en peut plus de cette inaction. Il faut qu'il se passe quelque chose..."