Le havre d'Aphrodite

"Mais tu sais bien que moi aussi ma douce" tout en lui rendant ce sourire...

"D'ailleurs cette jolie Hélène sur qui mon fils est tombé me semble tout à fait craquante..."

Et tandis que les deux tourteraux se bécotait tout en cherchant la faille chez l'autre, Hermes était arrivé aux portes de la demeure d'Aphrodite.
Comme à son accoutumée il n'eut pas la patience d'attendre que l'on vienne lui ouvrir et entra (in)délicatement dans le palais de la déesse, espérant bien trouver quelque nouvelle histoire à se mettre sous la dent.

Il ne pouvait espérer mieux en tombant sur Ares et Aphrodite à nouveau dans les bras l'un de l'autre.
La dernière fois il avait prévenu directement Héphaistos mais cela ne lui avait guère servi. Cette fois ci il voulait la jouer plus rusé.

Retournant sur ses pas, il pris soin de fermer toutes les portes ainsi que de jeter de le parvis les "vêtements" (un simple voile) de la belle et l'armure du guerrier.

Et ainsi il retourna devant le rideau derrière lequel se trouvait les amants avant de racler bruiement la gorge.

"Humrhummm...."

Le titan arriva dans le havre. Il arrive un , pour s'éscuser de sa conduite quelque peu8u de la veille.Il avait apporte des cadeaux végétale somptueux,comme une abre qui peut donner tout les fluer de mondes, Aussi pour informer la déese que son ancien amant mortel avait changé de voix. Car le titan, attristé par la douleur du jeune homme, par son amour unilatéral envers le déese, avait décider de le prendre sous aile. Jakeltare dans quelque temps un homme emplit se sagesse et aurait trouver un meilleur occupation que de. Ouronos aimait ce jeune homme,il lui rappellait Zeus encore tout petit, tout innocent.

Mais Ouronois ne l'avait mis avec des simple mortels, mais avec des serviteurs magigue de Artémis et de Gaie: des nymphes, des hommes des bois eut autre personne vivant dans le havre du Titant.Ouronos craignait que si la déese voyait les nymphes, elle serait encore flle de colère et ferait un bétise. Vlià pourquoi il fallait l'informer de cui adviendrait de son ancien amant.

Ouroinos supris Hermes entrain d'espionner les yeux. Certes ce que fesait Arès et Aphrodite été pas bien pour le dieu fogeron, mais ce n'était pas bien de se mêler de ce qui nous regarde pas.

"On écote au portes,Hermes" dit-il en aggripant le dieu ailé par le cheveille.

Il vut que la déesse s'en allait.Ouronos qui avait l'habitude de surproté ses protéger et regard la déese mauvaise. Il ne voulait qu'elle fait du mal comme il avait déja fait. Ouronos faisait le papa et étudiait chaque perosnne qui voulait faire du mal à son enfant.Mais d'autre à faire, Artémis l'appella.Il dit au dieu ailé .

"Que je te reprenne plus à écouter au porte, c'es très malsain."

Il alla voir ce que voulait sa maitresse.

"Wow du calme le colosse....ce sera certainement pas toi qui me dira ce que je dois faire..."

Mais comme son arrivée tout en douceur avait fait fuir la déesse il n'avait plus rien à faire ici et décida donc de s'en aller. L'accueil d'Ares serait en mesure de son énervement.

Et en effet l'arrivée inopinée du géant l'avait plus qu'en colère. Le fait qu'il venait géner leur intimité passait encore mais le fait qu'il fasse fuir sa belle lui était insuportable. Bien qu'il tenta de lui agripper le poingnet elle s'en défit d'un léger mouvement et disparu rapidement.

Elle avait à peine passer la porte que le dieu de la guerre était en armure face à Ouronos.

"Cette fois mon gars tu commence à me courir sur le haricot...j'en ai plus qu'assez de toi..."

et tandis qu'il parlait il dégaina son épée et la pointa sous la gorge de son interlocuteur

[Ouronos fais un effort avec ton orthographe je t'en supplie...]

Le titant se retira de la pointe de la lame. Ouronos avait guère peur du Dieu. Certes,Arès était le dieu d ela guerre et un était un guerrier ac
accomplit. Mais Ouronos était plus vieux et donc plus ruser que lui.

"J'était seulment venu venir rendre mes exscuse à Aphrodite pour ma conduite d'hier quelque peu enflammer."

Il regard la direction par la direction de où était partit Hermes.

"C'est là que j'ai supris ce fouineur entrain des vous epiers."

Il se retourna, Artémis avait besoin de lui.De plus, le géant savait que c'était peine perdu avec Arès,jamais il ne calmerait.

"J'ai du travail à faire, moi, tes guerres ravage l'oeurvre de ma mère."

Le titan prit le chemiin de la porte.