Ouverture des jeux

Le grand prêtre s'avança au milieu du stade, ramenant les morceaux encore fumants des de viande offert en sacrifice aux dieux.

"En ce jour solennel je déclare ouvert, avec la bénédiction des dieux, les premiers jeux Olympiques de cette terre sacrée d'Hellade. Que les meilleurs concurents s'avancent sur la piste et se préparent à faire preuve de tout le courage et de toute l'audace qu'ils possèdent."

En attendant l'arrivée des concurents il se tourna vers le public qui s'impatientait.

"Vous pourrez voir dans les prochains jours les plus grands athlètes venu de toutes les régions de la Grèce.
En premier lieu et durant tout ce mois, ils participeront à de magnifiques course de char attelés aux meilleurs chevaux.
Ensuite les plus grands athlètes participeront au penthatlon dont seul le plus fort sortira.

Medames et messieurs...en l'honneur du grand Zeus...les jeux..."

[ce sujet sera en rp si vous souhaitez y participer]

Traïanos entra dans l'arène dans laquelle devait se dérouler l'épreuve de lutte avec une certaine appréhension. Il leva la tête vers la multitude de visages qui l'observaient avec une avidité non dissimulée, attendant de voir un féroce combat. Son premier combat serait contre un dénommé Cyr, disait-on, et ceux qui l'avaient déjà vu à l'oeuvre s'accordaient pour dire qu'il se mouvait avec tant de grace qu'on aurait pu le comparer à un noble félin.

Cela dit, Cyr n'était surement pas un barbare, et restait un homme. Vulnérable... Avec une détermination accrue, il leva la tête, un feu intense dansant dans ses yeux sombres. Il se délesta de ses affaires et attendit son adversaire qui devait arriver par les portes opposées.

_ Qu'il vienne, je n'ai pas peur !dit-il sur un ton de défi, comme si il s'adressait à la foule.

Des milliers de corbeaux et de corbeaux emplire le ciel, juttant une ombre noir.Cyr arriva, enveloppe d'une cape à capuchon noir qui le cachait son noir visage.

"Tu cherche Cyr, mortels?"dit-il de sa voix de serpenté

Traïanos dévisagea longuement son vis-à-vis. Au bout de quelques instants tendus, il parla :

_ Dis moi, tu ne te prends pas pour un tas de fientes toi... Tu dois surement être Cyr, celui dont l'agilité n'a d'égal que la prétention. Nous devons nous affronter, apparemment et je ferai mon maximum pour te vaincre, même si cela ne suffira peut-être pas... Je demande juste que tu reste loyal pendant ces trois joutes. Allez, bats-toi avec honneur !

Il se campa sur ses jambes et attendit son adversaire de pied ferme, avec toute la fougue de sa jeunesse.

Il rit machiavéliquement.Il enelva sa capa, révélant son apparence sombre.L'apparence de Cyr était changer.Ses cheveux était couper et dressé dans leur epic.Ses oreilles était tailler en formes de d'oreille de chauves souris. Il était habiller, mais ses habit étaient noir. Il portait de nombreuz, surment dérober, à l'éfigie de la mort.Il portait un épée a l'aspèhce sombre.Cyr était vraiment effrayant acoutré ainsi.

"Sais-tu à qui tu t'adress, sais-tu qui je suis?Sais-tu qui est mon père? Sais-tu combien ont voulu s'emprendre et on ganger un voyage sur la barque de charon.Sais-tu combien de femmes se sont sucider pour moi. Combien de mères ont pleurer,combien d'enfant ont était traumatisé a cause de moi. Sais-tu au moin tu as défier, sais-tu au moins le déshonneur qui t'attend."

Biensur,Cyr exagérait, il utilisa son pouvoir de mensonge pour lui faire peur.

Traïanos leva un sourcil face à l'impertinent. Il comprit très vite que Cyr en faisait un peu trop ; et pour cause lui aussi avait le mensonge pour univers et spécialité, si bien que parfois il finissait par croire lui même à ses propres mensonges...

En regardant de plus près, Cyr et lui n'étaient pas si différents. Tous deux avaient l'air de développer un amour à l'intrigue, au mensonge... Ils préféraient les vêtements sombres aux tenues voyantes, et, apparamment, on ne comptait plus leurs conquêtes féminines... Et si ça se trouvait ils en connaissaient peut être certaines.

Il fixa son adversaire du jour avec une peur feinte, écarquillant les yeux comme foudroyé par la foudre. Bien qu'il sût que c'était un pur tissu de mensonges, il ne put s'empêcher de penser qu'il n'y avait pas que du élucubrations d'un fou dans ses dires. Et il réalisa que ce combat serait plus une partie de bluff qu'une réelle joute physique, son adversaire et lui redoublant de ruse pour s'imposer et multipliant les feintes et les prises vicieuses.

Il attendit que le grand Prêtre ne déclare ce combat engagé pour se ruer sur son adversaire et tenter de lui faire mordre la poussière.

_ Très bien, mon ami, nous allons nous battre.

Il fit une révérence ironique.

_ A ta guise...dit-il avec un sourire si sournois que n'importe quel maître du Mal se serait levé pour applaudir.

Cyr enleva sa veste et son pantalon. Il était nu,à part la lani;re d ecuir autour des ses parties génitales..Il fit clauqer sa queue de démon puis exécuta un giganteseque saut périeux.Il réatérit juste devant Trainos.Il le regarda avec un regard de défie. Ce mortel avait du potentielle, il pourrait être utile.

"IL faut que tu sache, méprisable insceste,que je ne connais ni honneur, ni droiture.Je suis un être de l'ombre qui ingore toute la morale."

Il lui fit signe d'approcher.

Le jeune Dellas écarquilla les yeux de surprise devant le démon enfin dévoilé. Il était beaucoup plus qu'il n'y paraissait. Aux derniers mots de Cyr, il eut au moins une certitude : les deux combattants avaient les mêmes codes de conduite. Les coups bas allaient fuser. Il songea également que si ill'emportait face à son adversaire aujourd'hui, alors, peut être qu'il admettrait un jour que les Dieux existent... Ou pas.

_ Très bien. Alors montre-nous ta puissance.

Traïanos bondit, executant une roulade vers l'avant. Il s'aperçut avec stupéfaction que Cyr n'était pas devant lui comme il le pensait : l'animal avait effectué la même manoeuvre, mais en sens inverse _et sous lui. Trahi pour la première fois par son instinct, Traïanos maudit sa tactique du taureau Crétois : foncer tête baissée... Il sentit soudain son adversaire le ceinturer solidement, tel l'étreinte d'un boa constrictor. Et se fit envoyer valser direction le sol. Conscient que son adversaire venait de marquer un point, il se releva péniblement, faisant face à la bête...

Cyr sourit machiavéliquement.Il voulaiit tester ce mortel, pour savoir si il était digne de le servir.
"Alors pauvre mortel, regrette de t'être à être superier à toi."

Il lui décocha un coup latérale dans la machoire de trainos et éxcuta un trip périlleux pour attérir dérrière son adversaire.Il lui fit une autre. ceinture arrière exécutée avec souplesse.

Pendant que Trainos était au sol, Cyr lui écrasa violament la tête dans le sol avec son pied.Il poussa un rire machiavélique.Quans Trainos se releva, Cyr approcha subtilement de lui.Il sembla faire une ceinture arrière exécutée avec souplesse. , mais il feinta et fit le controle du corps.Il sonda son être lui et lui dit.

"Join-toi à moirt et tu auras plus d'or que tous les hommes sur cette terre, je t'éleverais au rang des cieux.Tu sera crains et respecter par tout le monde.Tu ne seras plus un paria rejetter."

Traïanos entendit la séduisante proposition de Cyr. Sa situation ne lui déplaisait pas, au contraire il craignait que les intrigues faites à l'ombre plutot qu'au grand jour ne lui manquent.
_ Je vais réflechir à ta proposition, mais en attendant, le combat s'achève maintenant !
Il envoya Cyr valser par dessus son épaule et son adversaire fut projeté violemment au sol... Mais il savait que le combat était terminé après ce troisième et dernier assaut. Exténué, il mit un genou au sol, tentant en vain de lutter pour rester debout. Les tenebres, l'envahirent... Il s'ecroula face contre terre. Le combat était terminé.

Il pensa qu'il aura au moins eu le mérite de prendre une manche au démon.
Une bien maigre compensation...

Cyr se relevae et vit Trainos à terre. Il alla mit mettre son pied sur sa poitrine en singne de triomphe.Il leva les bras.

"Voilà ce qui coûte au mortel de defier les dieux."

Il se rhabilla et ordnna à ses servituer à plume d'enmenant Trainos dans un endroit où il pourrait se reposer. Une cascade paradiasque avec des belles filles pour faire des massage.

(on continu ça.)