Arrivant aux portes du temple, Rand reconu la senteur des jour de fêtes. Son visage s'illumina de contempler ce qui avait été prépraré pour lui. De part et d'autre de l'esplanade, quelques tente abritait des tables déjà templies de nourirture et de boisson. Des gens partout, se tournèrent vers lui lorsqu'il arriva. Des enfants accoururent, les yeux remplis de question. Quelques jeunes femmes prirent le relais du prètre et le portèrent à une table centrale. Des lanternes avait été dispersées et brillaient tant que l'on se serais cru en plein jour. Au millieux des rires et des voixRand se sentait bien, mieux que jamais, porté par une force nouvelle.Il saisie àa pleine main une coupe de vin et se delecta de son contenu. Tout était parfait.
<C'est pour des moments comme celui-ci que je vis ... >
Il s'adressa à la foule, annonçant que tout danger étant écarté, il fallait célébrer la liberté nouvelle aquise par le village. Puis le squestions fusèrent avant qu'il n'ai pu dommencer son repas. Il lui fallait compter son exploit. Déjà un jeune scribe du nom de Kronas s'affairait à coté de lui, un parchemin à la main, pour mettre par écrit son histoire. Rand commença alors, décrivant l'antre de la bète. Un silence de mort, dans un lieu qui devrait pourtant regorger de vie. La traque de l'animale, qui attendit le dernier moment pour se manifester. Et enfin le face à face. S'il éxagéra quelque peu la monstruosité du lion, nul ne s'en pleignit, tant chaque enfant, chaque femme et chaque homme était captivé. Les premiers assaut, jusqu'a la ruse qui permit de vaincre. Enfin la cheuvauchée infernale, qui mit en concurence la tenancité de la bète et celle de l'homme. Rien ne manquait au récit épique. Rien ne manquait à la fête non plus. Et dans ce parfum de vin et de joie, Rand se lança dans une des plus belles nuits qu'il vécu.