Le mont

Yeschoua se rendit au mont. Il y attendit que les gens arrivent pui comença. Il fit ce qu'il faisait d'habitude, il parlais du royaume de son père et de comment agire avec les autres. Son aufdtiori. Puis il passa uax question. On lui qu'il parlait comme socrate. Yeschoua dit que c'était parceque ils croyaient la même choses.

"Il y a d'autres question."

Qu'est qui a guidé tes pas en ce monde Ieshoua? demanda une voix suave et profonde dans l'assistance. Les gens s'écartèrent pour dévoiler Tanis toujours enveloppée de son grand manteau noir et blanc.

(lâcchez-moi, c'esr de l'antisémitisme, je vais le dire)
Le chien se hurta à quelque chose de dure, c'était la jambe de Ouronos. Le titant ce qui arrvier si l'homme mourrait.

télépathie à Hades:
"Hadès espèce d'idio, cette homme serait dangereux mort que vivant! Laisse donc tranquille. C'est pas comme ça que je t'ais élevée. Ournoos avait éléver les trosi frères divin petit.

Le géant hurla devant le chien. Cèrbère fit une mine appeueré puis s'en alla la queque entre les jambes. Ourons protégerait Yeschoua, à tout prix si c'était pour empêcher les dieux de tomber. Il se tourna ver l'homme.

"Escusez-moi, vous vouderiz vous faire discrêt."

[hrp :*[edit Atlantar: Même sous cette forme, et surtout en HRP, les insultes ne sont pas tolérés. 1er Avertissement.]* ça soule trop, désormais je ne ferais plus aucune quête avec toi, mec fais pas réagir les perso des autres!!!!!!!!]

**Hadès repliqua par télépathie**

-Pourquoi comptes-tu toujours les bienfaits que tu fais aux autres et non les malheurs que tu as causé à des milliers d'autres? Je n'ai jamais voulu être élévé, mais que dis-je ! être receuilli pendant quelques temps chez toi! tu te crois fier parce que t'as fait un des rares biens de ta vie misérable. Laisse tomber "Papa" sur ce mot Hadès éclata en rires puis se reprit, je vais laisser ton chéri!

Ieschoua avait vue toute la scène des cieux. Une fois aux sol. Il dit aux géant.

"Mon message doit pour le public."

Puis il dit.

"Merci, je savais que mon prèe m'avait.

Dieux avait surement incité Tanis.

(C'est une blague., Je voulais ditre, Je vais le dire aux juifs, car le jis preenet tout comme ue attaque. Sans rancune?)
Yeschoua resta. Cette femme l'attirat, maias d'une autre maihère qu'on pourrait penser, c'était une sorte. Yeschoua avait une idée de cette femme. Il s'assot sur une souche d'abre et régadat le soleil se couché.Étrangement il vut le visage de Tanis dedans. Il rests là, à attendre qu'elle revienne.

La jeune femme émergea des ombres derrière Ieshoua, a une certaine distance. Sa voie si particulière monta dans le soir, comme toute proche, malgrès la distance.

Ta mission va être compliqué Ieshoua. Ici la violence est reine, et les hommes rongé par la haine, même si ça n'est pas une généralité.

Son visage avait une expréssion étrange, comme victime d'une douleur retenue, et sa main fine était refermée avec force sur son baton ailée. D'ailleurs ne semblait t'il pas que l'aile de droite, celle de l'ange était affaisé?

"L'amour change les hommes."

Lui répondit avec le sourit.

"Au fond, ils sont bons."

ll resta. Il avait confiance en elle et on son père. Si elle avait peu le sauvé, elle trouverait froce de sa maîtriser.

"Vous avez mal? Je peux changer cela."

Il paralit mal physqiue et spycologigue.

Elle recula soudain sur la défensive.

Non non, tout va bien. Ne t'occupe pas de cela. Elle reserra son grand menteau autour d'elle. Puis esquissa un petit sourire.

Pardonne moi, mais...tu te fait du soucis pour bien peu.

Biensur qu'elle avait mal. Son dos la brulait et "elles" la lançait désagréablement. Mais Ieshoua ne devait pas les voir, ni personne d'ailleur. Elle devait accepter sa souffrance car tel était sa malédiction.

"Dison que votre santé me préocupe."

Il approcga une peu d'elle. Il ne pouvait que la regard, si seulemt elle lui permettait de la touchéé

*Quel ange...."

Elle eu un mouvement instinctif de recul, mais le bond initialement prévut n'était qu'un petit pas en arrière. Ses yeux noirs se plongèrent un moment dans ceux de Ieshoua puis repartirent, comme des papillions fuyant la lumières. Elle baissa la tête resserant le maillage de ses cheveux ténébreux sur son visage blanc. Puis, comme une ombre qui s'éface devant le jour, elle recula pour de bon cette fois. Sa voix parvint dans l'air, comme un murmure involontaire.

Ne fait pas cette erreur homme bénit, de chercher a percer le mystère que je suis, a dessein. Ton destin ne doit pas s'encombrer d'une colombe noire.

Elle fit demi tour, disparaissant dans la forêt, ses pas la conduisant plus surement que son esprit. Elle n'en pouvait plus, et elle devait être seule pour "ça".