la forêt

Un grand géant arriva à ce qui restait de la forêt. Le titan était encore deprimé, mais la nature devait perdurer. Ouronos fit renaître la faume et la flore morte.

*Si les dieux doivent mourirent, la nature, elle doit perdurer."

Il allla sur une montagne et poussa un soupire.

Hypolyte gravit la montagne avec peine. Il alla voir le géant.

"Je vous salut grand seigneur! Pouriez-vous me dire la raison de votre souprire, si ce n'est pas trop indiscrêt."

Il l'observa, il était vraiment imposant, même le cyclope était aussi grand, quel pouvais bien-être.

Le titant, baissa la tête pour voir d"où provenait cette fois.

"Inutile de faire la politesse, tu peux me parler sans craindre."

Il regarda aux loin.

"Tu pourrais pas comprend."

Il prit doucment

"Je vais un chances, que peut de mortel."

Il plaça sur sa tête, de la pour pouvait tout voir, on aperçevoir le mont olympe dans les cieux

"N'est pas beau?"

Hypolyte fut émue par le paysage.

"Woa!"

Il admira.

"Je m'apelle Hypolyte."

Il regada le mon olympe.

"Moi c'est Ouronos. J'ai entendu parler de toi, Hypolyte. Tu abeaucoup de corde à ton arc, guerrier, chasseur, princes, fils de héros, adorateur. Et je t'ai vue avec cette nymphe, comme elle s'appelle déjas, tu est très chanceux. Tu compe suivre les traces de son père."

Il hauta un moutte qui s'étais heurter contre son front.

"Pas vraimen, J'avoue que je voulais au début le faire, mais à présent je veux m'intalelr avec ma muses. Des plus j'ai une quête confié."

Il regard les gens en bas, il semblaient tout petit. Il voulu tester

"AAAAAAAAAA!Du des ceux!"

Les échos se repercurtèrent.

"Une quête?Quel est-elle je pourrais peut-être utile"

Ouronos poussa un rire qui fit trembler la terre.

"Ce que vous pouvez être drôle, vous les mortel!"

Jadis,au temps des atlantes, poséidon avait de nombreux fidèles, et grande était leur sagesse.Ils étaient fidèles,et puissants.Pour les récompenser,le dieux fit construire dans ses temples des portails dimensionnels,pour qu'ils puissent se déplacer rapidement.Grâce à cela,ils remportèrent maintes victoires.C'était avant que Altandni sois engloutie ...Depuis,ces temples sont tombés dans l'oubli.Il me demande d'en retrouver au moins trois,et d'activer les portails.Lorsque j'aurai fait cela,il lèvera la malédiction."

Puis il attendit sa réponse.

Ouronos se frotta le menton.

"Je me souviens, je sait comment les activer. Je te déconseille fortement, tu peux y laissé ta vie une deuxième fois. Mais si tu y tien vraiment, je peux t'indiquer leur endroit. L'un, est juste sous cette montagne, dans un caverne secrête, y fous juste bien cherché. Un autre est dans un petit près de Méthone, en macéodine, dans un forest. Et le dernire...près du mont olympe, dans un endroit où des lampades on pris possesion du portail et esseye de le réanimet poru hécate. Cette région s'appelle:Le baiser de la mort, je te conseil de reononcer à cette quête et à vivre avec ta malédiction."

[le temple de poséïdon]

Nerelith arriva en courant dans la forêt. Elle s'enfonça le plus possible dans la forêt et une fois qu'elle eut atteint son coeur, elle s'effondra sur le sol. Elle reste ainsi une dizaine de minutes, puis se redressa pour s'assoire. Elle se prit le visage dans les mains. Lorsqu'elle retira ses mains, ses yeux étaient à nouveau blancs. Puis elle cligna les yeux plusieurs fois pour que ses yeux redeviennent normaux. Après de longues minutes à essayer vainement, elle réussit enfin. Elle regarda alors autour d'elle et chercha un endroit ou passer la nuit, qui était tombée pendant qu'elle s'enfuyait le plus loin possible du bateau. Elle trouva un coin herbeux sur lequel elle s'allongea.

Ouronas la suivait toujours, quand elle s'allongea.

'Alors, ma chère nymphe, puisse-savoir le raison de votre départ?"

Il la regarda.

"Quelque choses a avoir avec ce bateau. Hypolyte vous gêne?"

Il matéria un bon list de feuille et s'alongea à son tour.

"Mais j'oubli la politese, je suis Ourons, dieux-titant de l'entretien de la nature."

Nerelith fut très étonnée de découvrir le géant Ouronos au coeur de cette forêt, la ou elle pensait être seule.

"Excusez moi, mais... Que faites-vous ici?"

Elle était vraiment très étonnée. Elle avait fuit loin de toute vie humaine, ne pensant sincèrement pas que quelqu'un ai put la suivre au rythme ou elle courait.

"Excusez mon impolitesse..."

(note:je suis fomre humaine, pas ma vraie)

"Votre réaction m'as intrigué. Vous aviez aucune raison de fuire, la jeunesse, un homme qui vous aimes, les pirtates on fuit. Croyez-moi, votre vie est belle face à un comme moi, une vie de travaille sans relâche, devrant réparer les dgat d'arès, répondre aux appel des agriculteurs qui de mauvaise récolte, défendre le cités qui me soutiennent lors que qu'on les assièges, jamais pouvoir souffler, dormir 2 heures par semaines, je sais pas ce je donnerais pour un peu de repos. Donc, votre réaction est imcomprénsible et je veux savoir pourquoi. De plus la nature est mon domaine, je suis commme chez moi."

Il poussa un petit rire quand elle s'éxcusa.

"La politesse n'est pa nécessaires, tant que votre coeur est pure et saint."

Puis il la regarda dans les yeux.

"Tenez-vous réellement à votre amoureux, si sa vie il mettait savie en périle, l'en dissuadez-vous."

Il fesait allusion à la quête.

"Oui je l'aime... C'est d'ailleurs pour ça que j'ai fuit."

Elle détourna le regard. Puis elle le regarda dans les yeux.

"Comprenez-moi bien. Je n'ai pas fuit parce que j'avais peur de ce que je ressent... Mais justement parce que je l'aime et que je refuse de lui faire du mal. Comme vous l'avez dit, je fuit pour qu'il ne mette pas sa vie en péril."

Dans ses yeux se lisait une tristesse, une lassitude et une amertume immense.

"Je ne suis pas une muse comme les autres..."

Il fit non de la tête

'Vous vous trompez, c'est sans vous que sa vie sera en périle.Vous seule pouvez le sortir du danger qui le quette, votre pouvez convaincre de pas sautez dans la mort!"

Il le regard.

"Si vous ne retournez pas à lui, d'autres nymphes risque de lui tomberm mais elle seront plus terrible que le feux de l'enfer! Vous amour seul epux le sauver du gouffre! Si il pars pour le Baiser de La mort, où se gachent l'und des portail de poséïdon. Si vous l'aimez, vous l'en dissuaderez

Il reçus un message d'un des amies.

"J'ai reçu un message de Artémis poru vous, en tant que son serviteur, je dois vous le livrer:"

Sa voix prie une sonorité divine.

"La déesse d'Hypoyte veut que vous soyez avec lui. Vous ndevez le rejoindre et le cacher loin te tout vie humaine et de totu chevaux! Il ne doit plus revoir des humains! En menez le dans le royaume de la déesse des forêt, le lieu de votre enfance. Telle qui Calyso, qui garderait Ulysse sur son île, vous garderez Hypolyte chez les nymphes, vous le ferez changer de nom pour Virbius et le gaderez dans le demeur d'Artnémis pour le restant des jours! Et il ne doit plus jamais repenser à cette quête. Telle est la volonté de le déesse de la justice, obéisez où subissez les foudres."

Puis la voix revint normale.

"Je sais ce que ça fait de se faire ordonnez par puissant que soit. Mais au moin, cette tâche serait trop difficile. Maitenant je dois vaquez à ma tâche.'

Il se volatilisa

"MAis je ne peux pas... Je le tuerais si je reste près de lui, si je retourne vivre sur l'île des nymphes..."

Des larmes coulaient sur ses joues.

"C'est pour ça que l'on m'a emmenée ailleurs..."

Pendant plusieurs heures, elle pleura, encore et encore, ne sachant plus ce qu'elle devait faire. Elle finit par s'endormir, épuisée, ne sachant toujours pas ce qu'elle allait faire.

Nerelith se réveilla après un sommeil cours et agité. Elle fut très étonnée de voir à ses côtés Chiron et une très belle jeune femme.

"Mais qu'est-ce que..."

Elle se redressa pour s'asseoir.

"Chiron? Que ce passe-t-il? Pourquoi n'êtes-vous pas avec les autres?"

[hj: Excusez moi de faire du double post, mais.... c'est quoi, j'ai pas été suffisemment gentille pour qu'on réponde à mon post???????]

[ben moi je veux bien continuer aussi mais tu parles à Chiron alors je réponds pas... >_<]

Edit Atlantar: Ce qui est un peu normal... Enfin, c'est pas contre toi Hestia... Nérélith, demande lui quel est son nom ? ^^

[dsl du retard...chui pas un homme mais un centaure^^]

"Justement chère Hestia...j'essaie de le deviner!" dit-il, mi joyeux de la voir et mi inquiet pour Nerelith, ce qui donnait une voix très bizarre.

Mais juste aux moments ou il dit ces paroles, Nerelith se reveilla. Ses yeux était gonflés sous les larmes et l'on voyait des traces sur son visage, traces qui indiquait qu'elle avait eu un sommeil agité. Chiron lui dit sur un ton doux:

"Rien, j'ai seulement deviné ton angoisse soudain...et j'ai voulu savoir si qui n'allait pas."

Il lui fit alors un sourire bienveillant.

Un vautour noir arriva et se posa a coté du chien noir. Il posa a coté de lui une statuette. Le chien regarda la statuette et remua la queue très fort et sauta sur ses pieds et se transforma en un homme d'age moyen, la peau bronzé par le soleil, le poil noir et les yeux sombre. un sourire de mauvaise augure s"étalait sur son visage beau mais cruel et il regardait la statuette.

Héhéhéhé!! bon travail mon ami! fit t'il au vautour qui cria en réponse avant se s'envoler. Il se tourna vers Chiron et Hestia.

Toi qui est un sage, et toi déesse, ma Tante, vous devez savoir ce qu'est cette petite chose! eurs lancat t'il en montrant la statuette dans son poing puissant. Et bien elle est mienne!! il ouvrit la main et ferma les yeux et la statuette se mit a briller et lévita devant lui. une lumière rose s'en échapa et vint entrer dans Arès qui soupira de délectation. ses cheveux se mirent a pousser, cascadant en boucle noir sur ses épaules, ses pupilles brunes devinrent aussi noires que l'iris, son visage devint plus beau encore, et ses muscles prirent de l'empleur, bien qu'ils n'en aient pas vraiment besoin. Lorsque la lumière s'éteignit il ouvrit d'un coup les yeux, et laissa tomber la statuette au sol.

Aaah la puissance!!! vraiment c'est jouïssif!! Ses yeux étaient plus sanglant qu'avant encore. D'un coup de talon terrible et soudain, et écrasa la statuette qui se brisa. Il explosa d'un rire sadique.

A présent je n'ai plus aucune raison de rester avce vous minables humains! j'ai les moyens de faire ce que j'aurais toujours dut faire: vous pourrir l'existence jusqu'a vous amener devant mon oncle Hadès! il fit une révérence moqueuse et disparut avec ses derniers mots:

A présent ce n'ai plus les orages, les barbares, ou les sorciers vos pies cochemard, mais moi!