Les falaises

Sur une falaisem Hypolyte rergarde les vagues s"écrasse contre le rochers.Les larmes coulaient sur son doux visage

*Pourquoi vivire. Nérélith ne veut de moi, nous somme peu-être séparé pour tjours "

Il ferme et les yeux.

"Adieu."

Il se prépara à sauter.

Bien en-dessous de lui,trois requins avaient aperçu,en haut de la falaise,de la chair toute chaude,qui pouvait s'avérer être un bon festin.Sentant cela,Poséïdon appparut aussitôt...Une forme humanoïde liquide fut créée à même l'air,et le corps imposant du Dieu la remplaça.Observant la scène de son regard impassible,il reconnut Hypolyte et lui dit sévèrement:

"Tu comptes en finir lâchement?Pourquoi es-tu revenu alors?Tu aurais dû rester aux Enfers!Pff,quel gâchis.Si tu veux y retourner,je ne t'en empêcherai pas,c'est ton choix.Mais sache que ce chemin là est parsemé de souffrance.Il y a un autre moyen,moins douloureux.Je te laisse décider."

Le Dieu des mers n'avait pas bougé d'un pouce.Il restait là,appuyé sur son trident,et attendant la réponse du mortel.

Il se tourna vers Poséidon, intrigué

"Laquelle."

Il haussa un sourcils.

*Les dieux sont si compliqué."

Il regard le dieux.Sans le dévisagea, juste pour voir que ce voualis le dieux.

Nerelith arriva la ou se trouvait Hypolyte, l'air assez en colère. Mais lorsqu'elle vit Poséïdon, sa colère retomba d'un coup.

"Oh..."

Elle se reprit.

"Hypolyte... Je croit qu'il faut que l'on se parle."

"Parlez de quoi. Si tu pense que t'ai suiv, ne te méprend, je suis revenu chez moi, pour une dernière fois."

Il la regarda, ils contrôlaient ses larmes. Puis son regard se posa vers le vas de la falaise.Il regardait vers le ciel.

"Ne t'en fais pas, je serrais un source d'ennui, ni pour toi, ni pour personne."

Il s'apprêta à sauter.

Nerelith courrut et l'empêcha de sauter.

"Ce n'est pas la solution! Il faut que l'on parle!"

Pour une fois devant lui, elle ne pleurait pas. Ses yeux verts exprimaient au contraire une grande détermination.

"S'il te plaît. Ne fais pas ça..."

persephone n'avait pas attendut le reponse de son mari qu'elle etait deja arrivé sur l'île en question et sur son char noir , tiré par deux juments ailées, elle se mit pret de poseidon et lanca :

-Laisse le sauté !!! ca me fera du monde dans l'hades, mais comme il n'a pas accomplis sa mission sur terre il accomplira une tache eternel en enfer ... Sautes ! sautes !
il ne te vaux pas nerelith, c'est un lache, il prefere laisser les problemes humain aux autres !!!

elle s'etait callée sur son char, et attendait avec un sourir perfide la descente d'hypolite ...

Il la serra dans ses bras et il pleura.

"Je t'aimes.M'aimes tu encore?"

Ç'était la seule choses qui pouvait le sauvé. La disparition de Nérélith lui avait supposé que Nérélith ne l'aimais plus.Ça se voyait dans ses yeux yeux.

"Tu est la seule qui me rattache à se monde."

-Elle ne t'aime pas !!! -lui cria la deesse-
vas y , reponds a ton instinct tragique, allez le tragedien montre nous que toute piece digne de sophocle finit par la mort du heros !!!
saute comme le lâche que tu es !!!

elle savait que ses mots l'atteindraient malgrer son air indifferent.

Nerelith le berça légèrement.

"Persephone, laisses nous. Cette histoire ne te concerne en rien, et il n'est pas une future âme des enfers. Du moins pas dans un futur proche."

Elle tourna la tête vers la déesse avec un regard déterminé.

"Il y a quelques temps, je t'ai envoyé une dizaine de pirates, satisfait-en pour l'instant. Je ne te laisserais pas prendre Hypolyte. Il n'y a plus rien pour toi ici."

Ce que je dis Nérélith le ressura,pour être certain. Il l'embrassa. Il attendit sa réaction. C'était fois. Un baiser l'avait condamné autre fois, mais cette, seul un baiser le sauverais.

*Au Nérélith.*

Il se tourna vers Perséphone.

"Retourna aux enfers où chez ta mère, le monde des mortels n'est pas . Il y est plein de pêcheurs que j'ai envoyé fraichement."

Poséïdon leva un sourcil,puis soupira...

"Bon,je vois qu'on n'a plus besoin de moi ici,je disparaît donc sur le champ."

Il salua la Déesse présente,et se liquéfia pour disparaître.

-Tres bien jeune nymphe, mais la prochaine fois, tu n'y pourras rien, et je le repprendrai, de gré ou de force... et là, plus jamais il ne pourra s'en rechapper.

elle fouetta ses chevaux, la terre se mit a trembler, une fente se fit voir et Persephone s'y enfonça.

Une fois les dieux partis, Nerelith regarda Hypolyte.

"Apparemment, je ne t'ai offert qu'un sursit, j'en suis désolée."

Puis elle s'écarta de lui.

"Mais je ne peux pas te promettre mon amour Hypolyte. Je ne peut le promettre à personne et il faut m'aimer d'un amour mature pour comprendre ça. Je n'aurais pas d'enfants, je ne connaitrait pas un long amour. J'ai été égoïste de vouloir vivre ça au risque de te faire souffrir... Ce que j'ai fini par faire."

Elle s'approcha du bord pour voir la mer.

"Je comprendrais que tu me haïsse, mais je ne mérite pas ta mort. Je ne veux pas soulager ma conscience en t'empêchant de mourrir, seulement que tu ne meure pas pour moi, ce serait un trop grand "honneur"... Vis, vis ta deuxième chance jusqu'au bout, fonde une famille, soit heureux. Je ne peut t'offrir tout ça."

Elle le regarda, attendant sa réaction.

Bellérophon haussa les sourcils d'un air surpris

*De plus en plus bizarres ces gens. Deviennent de plus en plus dépressifs*


Il attendit de voir quel homme était ce Hypolyte. Pour savoir s'il devait prendre sa défence ou pas.
Sinon, la damoiselle n'aurait pas trop de problèmes. Il ne s'inquiètait pas pour elle.

Nerelith a écrit:

Une fois les dieux partis, Nerelith regarda Hypolyte.

"Apparemment, je ne t'ai offert qu'un sursit, j'en suis désolée."

Puis elle s'écarta de lui.

"Mais je ne peux pas te promettre mon amour Hypolyte. Je ne peut le promettre à personne et il faut m'aimer d'un amour mature pour comprendre ça. Je n'aurais pas d'enfants, je ne connaitrait pas un long amour. J'ai été égoïste de vouloir vivre ça au risque de te faire souffrir... Ce que j'ai fini par faire."

Elle s'approcha du bord pour voir la mer.

"Je comprendrais que tu me haïsse, mais je ne mérite pas ta mort. Je ne veux pas soulager ma conscience en t'empêchant de mourrir, seulement que tu ne meure pas pour moi, ce serait un trop grand "honneur"... Vis, vis ta deuxième chance jusqu'au bout, fonde une famille, soit heureux. Je ne peut t'offrir tout ça."

Elle le regarda, attendant sa réaction.

"Il est trop tard, jamais je pourrais te remplacer. Je pourrais jamais t'oublier.Je penserais et je t'aimerais jusqu'a nin dernire souffle

Il soupira.Le vent souffla fort.

"Deux je présente à moi, vivre avec un eternelle doleure, a en être demi-fou et m'isolée du reste du monde. Où mourrir....Les dieux m'on abandonner,, maitenant, la malheure me couvre."

"Mon bonheure est avec toi, mais ça cela impossible, a tes yeux...."

Il alla pour descendre mais se retourna.

"Et, comme la mère de Orphée, tu tombe enceinte de moi. Ne l'abandonne pas, n'essait d'empêcher, garde l'enfant et élève avec autant d'amour que tu puisse, c'est le seule que tu peux faire pour apaisser mon âme. Cette enfant aura plus de chances que nous, avec son pouvoir, il aura et un bonne vie."

Il commença à descendre.

Bellérophon voulut rigoler, c'était tellement pathétique cette histoire.
Un homme et une déesse?
Il entendit l'homme descendre puis partir.
N'entendant rien de la part de la soi-disante déesse il décida de se montrer enfin et de l'apostropher.
Il était curieux. Pour l'homme...tant pis, il va se faire mutiler par les Amazones, il aurait du savoir où il était.

Il sortit donc de derrière un arbre et se dirigea vers la jeune femme qu'il ne voyait pas ni ne la verrait jamais.
Il savait où elle se trouvait, il l'avait bien entendu.

-Belle dameoiselle, que la tristesse vous quitte. Vous qui pouvez voir, admirez le paysage et soyez en honoré. Voyez comme le monde est beau, ne soyez plus triste cela ne sert ç rien. De plus, ça ne fait plus mal qu'à soi même.
Souriez, et acceptez votre déstin, ayez en tête qu'un jour vous aurez l'existance que vous méritez car c'est la vérité. Tous ont droit au bonheur.

Il ne savait pourquoi il le disait, il prenait peut-être la dame en pitié?
Non c'était autre chose...Depuis qu'il était devenu heureux, il ne pouvait suporter l'idée qu'une autre personne souffre.
Pour l'homme il ne s'inquiètait pas, il avait étudia sa voix. Il s'en remettrait...

Hypolte reçu la lettre.

"Si la seule choses honorable a faire."

Il remonti et alla voir Nérélith.

"Nérélith, on a besoin, ça va mal à Lesbos, Cirhon et les autres besoin de nous."

Il tendit à lui tendi la lettre. Il attendrait pour lui parler.

"Rejoin-nous si tu veux."

Puis il partir rejoindre Chiron.

(treeeees en retard lol)

Nerelith s'assit par terre et ferma les yeux. Elle reflechissait a ce qu'elle allait faire. Elle reflechit un long moment puis decida d'aller rejoindre les autres a Lesbos, s'ils y etaient encore.

[Lesbos]